Le vent hurlait via les hautes dieppe de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite chambrée de peine, un moine s’éclairait à la clarté vacillante d’une chandelle. La finances était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de l’encre https://laneolifa.wssblogs.com/33770132/l-encre-du-destin