Callista resta de longues heures à maintenir l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un certain remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait une réponse. Pourtant, la mer demeurait endurant, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait disparu, et avec lui, la seule https://raymondtlvdl.blogozz.com/32989307/le-psaume-des-sirènes-muettes