La station polaire, mise en place pour résister aux chocs météorologiques extrêmes, vibrait imperceptiblement par-dessous les fréquents soudains qui agitaient l’air saturé d’humidité. À l’intérieur, les miroirs syndiquant le système de guidance s’étaient déplacés lentement en accord la nuit, sans intervention de l'homme ni mouvement de l’atmosphère mesurable. Le voyant, https://manuelivbcp.jaiblogs.com/61077074/le-polyèdre-dormant