Sur les hauteurs d’un plateau tibétain, où l’air apparaît retenir le temps dans sa minceur, un monastère oublié reposait, en accord entre ciel et gemme. Ses murs fendillés portaient les cicatrices de l’abandon, mais l’aura du partie, intacte, subsistait comme par exemple une vitalité retenue entre les montagnes. C’est dans https://andrenhten.myparisblog.com/34764124/les-neuf-vitraux-du-cloître-de-l-aube