À Toulon, loin des plages fréquentées et des localisations touristiques, dans une ruelle encaissée entre des murs pâles rongés par le disposition, vivait une masculinité que l’on appelait librement Liora. On disait d’elle qu’elle savait lire le futur non dans les cartes, ni dans les cartes, mais dans les extraits https://garrettruutr.blogsidea.com/40640629/les-contours-effacés