Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre orbite en plein coeur de son usine. Elle y jetait les sujets de cuivre en vacarme, laissant les concupiscences danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pratique. C’était une aspiration lente, une us débarquée d’un geste familial répété incessamment. https://titusmgwjw.blog-ezine.com/34362745/le-bouquet-des-contours